Au contraire de ce qu'a affirmé le ministre algérien des affaires religieuses, qui rappelons le, est un fonctionnaire et non un homme de religion, il y a matière à liberté en religion, la religion ne peut qu'être que libre. La conviction étant fondée sur la liberté de choix. On est libre de croire à ce qu'on choisit de croire.
De quel droit ce permet-on de "réduire en esclavage des gens que leurs meres ont fait naitre libres" ? De quel droit s'exprime t-on de cette manière ? De quel droit reproduire l'intolérance sociale dans laquelle nous vivons, et qui n'a rien à avoir avec la religion qui a été instrumentalisée comme tant d'autres choses, dans un discours officiel ?
La ikraha fi el din.