Les Films !!

Rien que des films mettez les tous ici
y a un qui va sortir en novembre qui déchire c'est "Mensonges d'etat avec di caprio et Russel crow , le film est tres attendu partout. :

pour Découvrir wwws.warnerbros.fr/bodyoflies

Réflexion sur la complexité des sentiments, sur les modèles à suivre, ce qu'on veut et ce qu'on peut être, sur la jeunesse et ses tatonnements, les rèves et le déceptions, bref sur la vie et le dépassement de soi mais sur les illusions aussi. Rusty James, a été tourné en noir et blanc, sauf quelques flashs en couleurs, un personnage du film étant daltonien, la musique est signé du batteur de Police Stewart Copeland. Rusty James est avec Outsiders un des filme phares du début des années 80.
Salut à Latif avec qui j'ai partagé ce film et un grand débat à la sortie de la salle de cinéma, une belle nuit d'été au parfum de jasmin.

Extraits de l'article "Festival Panafricain d'Alger: un film trop méconnu de William Klein" d'Olivier Hadouchi doctorant en cinéma à l'université de Paris I (Sorbonne) mis en ligne sur le blog de Salim Bachi :

" (Le film est) un talentueux patchwork oscillant entre le passé, le présent et l’espoir pour l’avenir. Un lumineux patchwork tour à tour immergé dans l’esthétique du pamphlet, de l’agit-prop et du cinéma direct, le montage rythmique, incisif et le plan qui prend le temps de respirer. Les scènes de défilé, dans les rues d’Alger, défilé des délégations venues d’un grand nombre de pays africains, ne s’apparentent pas à des processions rigides de type défilé du 1er mai sur la Place Rouge et ses dérivés, car la foule n’est pas uniforme, des individualités s’en dégagent, des danses sont parfois improvisées entre des Algériens et leurs hôtes, venus d’autres pays du continent. Les entretiens filmés avec des artistes, des intellectuels, des militants, expriment parfois des nuances sensibles et tiennent compte des spécificités de chaque situation ; seul le colonialisme, l’impérialisme sont unanimement condamnés. Le discours du président algérien de l’époque, Houari Boumediene, n’est pas placé au dessus des autres déclarations des participants (loin du culte de la personnalité, cela mérite d’être signalé). Quant aux déclarations des leaders de mouvements de libération (successivement le MPLA d’Angola, le FRELIMO du Mozambique, le PAIGC de Guinée Bissau et Cap Vert, l’ANC d’Afrique du sud), ils se concentrent sur la manière dont ils mènent leur combat sur le terrain (aspect militaire et politique) et sur le rôle, majeur selon eux, de la culture en vue de la libération. Leur conception se démarque du concept de la « négritude », dont Fanon avait déjà proposé un dépassement dans ses textes. Surtout contre le version « senghorienne » du mouvement, comme nous l’avons vu, et non contre le Sénégal, pays du président poète, car des intellectuels tels que Pathé Diagne, l’auteur dramaturge Cheikh N Dao étaient à Alger durant le festival, ainsi que les grands cinéastes Ousmane Sembène (pas montré dans le film) et Djibril Diop Mambéty (il n’avait pas encore troqué le théâtre pour le cinéma, faisait peut-être partie de la troupe de Ndao à l’époque) (…).

Le film se termine par un rappel d’images de luttes anti-coloniales en Afrique, des militants Black Panthers montent sur scène avec Archie Shepp accompagné d’un orchestre touareg du sud algérien, la performance se déploie en forme de crescendo (rappel des révoltes dans les ghettos US, des images de luttes anti-coloniales en Afrique). Appel à la révolution africaine, après les prestations de la célèbre chanteuse sud-africaine Miriam Makeba et d’une grande voix du gospel, Marion Williams. "

Voilà un film plutôt pas mal :

Les acteurs sont super, forcement, avec un Russell Crowe un peu dans le même genre de rôle qu'il nous avait habitué, c'est à dire quelqu'un d'assez excentrique, rôle qu'il maîtrise plutôt très bien. Mais c'est surtout Leo DiCaprio qui crève l'écran dans un rôle d'agents secrets assez réalistes.
Réaliste, le film l'est assez, il nous montre la différence entre quelqu'un qui dirige les opérations des States et celui qui est sur place, qui doit connaître très bien les us et coutumes du pays (et bien sûr la langue ainsi que la religion). On voit bien la différence entre celui qui est au contact avec des hommes et celui qui regarde à travers un écran. Et on voit bien comment les sources et comment les personnes lambda sont utilisés, du camp de la CIA autant que celui des terroristes (peut-être même plus, "pour le plus grand bien").
Enfin, la relation entre les deux services secrets (CIA et services secrets jordanien (beaucoup plus efficace au moyen-orient) est aussi très intéressante, on voit que celui qui demande la faveur est en infériorité vis à vis de l'autre, et les rôles peuvent changer rapidement.

Pour finir, pour une fois, la civilisation humain n'est pas caricaturée, et les choses sont plutôt réelles.

Cependant, je n'ai pas pu repousser un léger scepticisme à la fin du film, quel est le message ? La CIA est mauvais ? Les terroristes sont mauvais ? Rien de nouveau.. Le film à passer pour politique, alors que c'est juste de l'action et l'image que les gens peuvent se faire du film m'inquiète un peu.

Du point de vue technique le film est très divertissant, un bon Ridley Scott bien mis en scène et tout.....

Nina peut être un petit commentaire pour nous faire connaitre ce film qui semble interessant ?

oui voila le resumé de film c est un beau film que j ai adoré

une vague d’enlèvements d’enfants a jailli sur le Mexique, nourrissant un sentiment de panique grandissant parmi ses résidents les plus fortunés. Dans une période de six jours, il y a eu 24 enlèvements, conduisant plusieurs parents à engager un garde du corps pour leur enfant. Dans ce monde arrive John Creasy (DENZEL WASHINGTON), un ancien agent de la CIA, exténué et dépassé par la vie. L’ami de Creasy, Rayburn (CHRISTOPHER WALKEN) l’amène dans la ville de Mexico, afin de faire de lui le garde du corps de Pita Ramos (DAKOTA FANNING), la fillette de 9 ans du richissime industriel Samuel Ramos (MARC ANTHONY) et de sa femme Lisa (RADHA MITCHELL). Creasy n’est absolument pas intéressé à devenir un garde du corps, spécialement celui d’un enfant, mais, faute de mieux à faire, il accepte l’offre. Creasy tolère à peine l’enfant précoce ainsi que ses questions agaçantes sur lui et sa vie. Mais, peu à peu, elle ébrèche sa façade impénétrable et, baissant ses gardes, il s’ouvre à elle. Cette nouvelle lumière dans la vie de Creasy s’éteint lorsque Pita est enlevée. Malgré une blessure importante, subie pendant l’enlèvement, Creasy jure de tuer tous ceux qui sont impliqués dans l’enlèvement. Et rien ne pourra l’arrêter.

vraiment que des beaux films ici
je vais suprimé mon para bole

Chronique des années de braise

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C'est un film de l'Algérien Mohammed LAKHDAR-HAMINA.
Le film est une fresque des années qui ont précédé le déclenchement de la Révolution de 1954. D'où le titre.

Le film se passe dans les Hauts Plateaux, dans la région de M'SILA, d'où est originaire LAKHDAR HAMINA.
Le scénario est captivant, l'image MERVEILLEUSE, le spectacle GRANDIOSE recelant une intensité poétique rare.LE FILM A OBTENU LE PLUS PRESTIGIEUX PRIX CINEMATOGRAPHIQUE :
LA PALME D'OR A CANNES EN 1975
Le film est toutefois très difficile à trouver dans le circuit commercial occidental ...Ce qui est "bizarre" pour une Palme d'Or.

elle m rend dingue la minnelli

Je viens de me rappeler un film que j'ai beaucoup aimé dans le temps, c'était le premier de Madonna, qui débutait fraiche et délurée si je puis dire,
je l'ai vu dans une salle de cinéma de Constantine qui s'appelait l'ABC , une belle salle au toit ouvrant svp !
En été nous regardions le film sous la voute céleste étoilée.
Je reviens au film, dont le titre avait connu, à l'époque, beaucoup de succès dans les conversations et les média " Recherche Susan désespérément " (ne me demandez pas pourquoi je me suis rappelé le film )

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Le dernier film que j’ai vu, « Duel au soleil » un magnifique western américain réalisé en 1946 par King Vidor, une très belle et dure histoire, histoire de sentiments, d’amour et de traditions, cette volonté de changer de vouloir suivre que son cœur, de vivre pleinement l’ amour, vouloir être libre , libre de toute contrainte .Gregory Peck dans le rôle de Lewt, un voyou qui cumule les aventures, la femme c’est son objet, sa propriété et il en fait ce qu’ il veut, son frère Jess(Joseph cotten) et contrairement a lui, est plus doux, plus réservé mais plus respectueux envers les femmes. Les deux cousins vont tenter de courtiser Pearl (Jennifer Jones).Elle va vivre un amour difficile avec Lewt, désespérée Pearl va choisir un autre homme, que Lewt par jalousie tue . Il est obligé de fuir et Pearl le rejoint. Les deux cousins se retrouvent dans la montagne pour le duel final et meurent ensemble.

Un film bouleversant, une mise en scène magnifique, un Joaquin Phoenix époustouflant, un personnage vraiment touchant, attachant, plein de sensibilité, je ne sais pas ce que je peux vous dire de ce film, bien sur traite des sentiments, de l amour, de l’homme de la femme, des rencontres, mais de la difficulté d’être avec la personne qu’on aime, j’ai compris une chose c’est que souvent on est avec quelqu'un sans vraiment l’aimer.Alors on entend souvent cette phrase :oui, on est ensemble mais je ne l aime pas...

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Joaquin PHOENIX a toujours été un acteur particulier, sa prestation dans GLADIATEUR ou en personnifiant Johnny CASH à l'écran ont donné le ton de ses qualités d'interprétation.
Quant à la thématique du film (que je n'ai pas encore vu) elle me rappelle l'excellent INTERSECTION avec GERE lui même remake des CHOSES DE LA VIE avec PICCOLI.

Et aussi dans le film "La Nuit nous appartient" trafic de drogue, mafia...excellent film.On a plus l habitude de le voir jouer des roles violents,mais là j'etais agréablement surprise de le decouvrir dans un autre registre, magnifiquement bien joué, ce role d'un homme sincère, amoureux, malheureux.Très beau film!

Voilà un film qui a de la chance, d'excellentes critiques de presse et un public conquis, que demander de plus ? Beau cadeau de départ pour Phoenix qui arrête le cinéma pour se consacrer à la musique.

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Je l'ai vu en dvd. Une geuerre de civilisations dans le Soudan des XIXème siècle.Entre ce chef religieux qu on appelle Al Mahdi, celui qu on attendait ou en arabe, Al Mountadhar, celui ci encourage ses troupes à la guerre sainte, dans le but de debarasser le soudan des infidèles et de faire de Khartoum le symbole de sa puissance, dans cet objectif il doit faire face à Charles Gordon...Un film dont les scènes de batailles sont époustouflantes, des images de grande beauté, un film SPLENDIDE!

Je lu le roman, dont on a adapté le film. C'est plutot une guerre de libération, puisque les Anglais occupaient par la force le Soudan qui est le pays du Mahdi qui est un homme libre qui ne voulait pas que d'autres hommes viennent réduire sa patrie en esclavage et lui faire subir le joug de l'injustice et de l'exploitation.

L'adaptation cinémathorgaphique montre plutot un Soudan menacé par ce chef religieux.

On parle plus que de lui depuis des jours et des jours: Largo Winch un film de Jérome Salle sort demain en salle, Largo Winch est un personnage de fiction, héros éponyme de romans et d'une bande dessinée, créé par Jean Van Hamme.C’est hier soir qu’était présenté en avant-première l'adaptation cinématographique, les critisques etaient bonnes pour ce film, un pari audacieux, une aventure périlleuse, un resultat percutant..peronnellement c'est sur le choix des acteurs que ça ne va pas,Tomer Sisley un one man show(raté) et "acteur", il a joué dans quelques films dont la qualité de l'interpretation est mediocre,très mauvais scénario, platitude des dialogues...quand je n aime pas l acteur, je n aime pas le film.