La femme inférieure à l'homme ?

Récemment j’ai été voir le dernier Mendes « Les Noces Rebelles », le film raconte le combat entre le rêve brisé d'April et ses obligations de femme et de mère au foyer, il a décrit la condition de la femme de manière aussi crédible que bouleversante, la femme est réduite a un rôle de femme au foyer, de mère et d’épouse sans reves, sans ambitions, une vie vide !....Il ya cette phrase qui m'a beaucoup bouleversé de Kate , elle parle a son mari, les larmes aux yeux et lui dit : tu as de la chance Franck, tu as de la chance parce que tu es un homme et les décisions te reviennent. Un auteur progressiste (dont le nom m’échappe) définissait la femme comme « la femelle de l’homme » !
La différence des sexes est une catégorie vide, dans le sens ou ce sont les hommes qui la créent, de crainte de confusion entre les deux sexes et perte de différence. C’est les inégalités qu’il faut réduire, la femme doit être considérée comme une personne a part entière, un sujet sachant raisonner, penser, et non comme un objet entre les mains d’un homme. Plusieurs travaux montrent une émancipation féminine spectaculaire depuis une cinquantaine d’années, mais qui, pourtant véhicule toujours son lot d’inégalités, de blocages.

Le temps, la volonté et un travail des idées peuvent beaucoup faire.

No comment

C'est aussi une question d'éducation, au sein meme de la famille, de certaines familles, on contstate un traitement different de la fille et du garçon, on a tendance a donner plus de consideration aux garçons qu'aux filles, je ne sais pas pourquoi; cette fille est meme parfois meprisée et detstée par ses propres parents, parce qu'elle est fille, c'est là qu'on voit l'ignorance des gens, une ignorance dangereuse dans le sens ou la famille est la cellule de base de toute société et quand celle ci va mal c'est toute la société qui va mal.

Oui mais c'est aussi la société et quelque part la nature qui fixe des rôles à chacun, d'où une sorte de cercle vicieux...mais en fait comme dans toutes les problématiques il faut une approche globale et synergique.
Je continue à penser que nos maux viennent essentiellement de l'ignorance (des réalités, de l'histoire, de la sociologie, de nous-mêmes) et du poids des affects dans notre manière d'être.